Actualité

Expositions, concerts, conférences

Mise à jour le 05/04/2024
Midi-Concerts à la mairie du 8e

Expositions

Tout au long de l'année, la mairie du 8ème accueille des artistes pour leur permettre d'exposer leurs œuvres au plus grand nombre : peintures, sculptures, photographies… tous les arts sont représentés et exposés.
Mairie du 8ème, 56 boulevard Malesherbes. Le 3 rue de Lisbonne est fermé pour cause de travaux.
Salle des expositions, escalier C - Rez-de-chaussée

Exposition de photos sur l’Inde sacrée de Patrice Gallet de Saint-Aurin

du 23 avril au 7 mai 2024

Crédit photo : Mairie 8E
Exposition ouverte au public du lundi au vendredi de 10h à 17h, jeudi 10h-19h, samedi 10h-12h

Exposition "FEMMES EN TANDEM" Andrea Hepp et Olivia Gonzalez

du 26 mars au 6 avril 2024

Crédit photo : Mairie 8E
Crédit photo : Mairie 8E

Planning 2024

Exposition de photos sur l’Inde sacrée de Patrice Gallet de Saint-Aurin
Du 23 avril au 7 mai 2024
Exposition « clé en main » (direction des affaires culturelles) 80e anniversaire du Conseil National de la Résistance
Du 13 mai au 24 mai 2024
Exposition de peinture de Cécile Raynal
Du 4 juin au 17 juin 2024
Exposition de 5 artistes chinois
Du 9 septembre au 21 septembre 2024
Exposition Eva Marc'h réalisée par Patricia Guyomarc'h
Du 9 octobre au 19 octobre 2024
Exposition Marie-Noëlle de la Poype
Du 12 novembre au 26 novembre 2024
Exposition 111 des arts
Du 16 novembre au 24 novembre 2024
Exposition peinture Mme Nicole Monnereau
Du 29 novembre au 15 décembre 2024

Midi-Concerts

La Mairie du 8e vous offre un concert tous les jeudis (hors vacances scolaires) de 13h à 13h45. Au programme, concerts de musique classique, de jazz, de variété…
Crédit photo : Mairie 8E

Programmation des midi-concerts :

  • Calendrier Conservatoire Municipal Camille Saint-Saëns
2024 : 7 mars, 28 mars, 25 avril, 13 juin, 20 juin
  • Calendrier CRR (Conservatoire à rayonnement régional de Paris) :
2024 : 14 mars, 2 mai, 13 juin
  • Calendrier Ecole Normale de Musique de Paris :
2024 : 21 mars, 4 avril, 16 mai, 6 juin
Mairie du 8ème, 56 boulevard Malesherbes
Salle des mariages, escalier C, 1er étage
Saison 2023-2024
De septembre 2023 à juin 2024 (hors congés scolaires)

Des concerts de musique classique, jazz, opéra… en partenariat avec le Conservatoire à rayonnement régional de Paris (CRR), l'École normale de Musique de Paris-salle Cortot (ENMP), le Conservatoire municipal de Musique du 8e Camille-Saint-Saëns (CMA8) et le Collège Octave Gréard.
Tout au long de l'année, la Mairie du 8e arrondissement organise des conférences, des concerts, des expositions et de nombreux évènements culturels.

Conférences de l'Hôtel Cail

La Société historique et archéologique des 8e et 17e arrondissements (SHA), présidée par Mme Prévost, l'association du Souvenir napoléonien (SN) sous la houlette de son délégué Paris-Ile-de-France, M. Michel Inglebert ainsi que Claude de Méneval pour l'association des Amis du Musée Murat (AM), proposent régulièrement des conférences à la Mairie du 8e arrondissement.
Mairie du 8ème, 3 rue de Lisbonne
Salle des Conférences, Escalier B - Sous-sol

Les Amis du Musée Murat

Crédit photo : Les amis du musée Murat

2024

Mercredi 6 mars 18h

Crédit photo : Mairie 8E
« NAPLES DANS LA TOURMENTE AVANT MURAT : NELSON ET LADY HAMILTON »
Natalia Griffon de Pleineville
Historienne spécialiste de l’Empire
Quelques années avant que Murat ne devienne roi de Naples, cette ville vécut des bouleversements révolutionnaires consécutifs à l'arrivée d'une armée française en 1799. Son commandant, le général Championnet, y proclama la république, avec le soutien des intellectuels locaux. Une euphorie de courte durée, suivie de représailles atroces constituent page noire dans la biographie de l'amiral Nelson, le plus grand marin britannique.
C'est à Naples, lors de ces événements sanglants, qu'il devint le héros d'une histoire d'amour, dont les échos traverseront les siècles, avec Emma Hamilton, d'une beauté extraordinaire, ancienne courtisane qui épousa un ambassadeur, amie et confidente de la reine Marie-Caroline de Naples.
L’idylle se poursuivit en Angleterre, au grand scandale de la bonne société. La mort de Nelson à la bataille de Trafalgar plongea sa maîtresse dans une misère tant affective que matérielle. A sa mort à Calais en 1815, personne ne reconnaissait plus dans cette alcoolique bouffie la rayonnante jeune femme dont les traits ont été figés pour la postérité sur de nombreux portraits.
Lors de sa conférence, Natalia Griffon de Pleineville, contera les relations entre ces deux êtres hors du commun sur fond de la révolution napolitaine.

Mercredi 3 avril 18h

Crédit photo : Mairie 8E
« LE GENERAL COMTE LEPIC, COLONEL-MAJOR DES GRENADIERS A CHEVAL DE LA GARDE IMPERIALE »
Stanislas Lepic
La deuxième conférence de notre cycle « Les grands cavaliers de l’Empire » est consacrée à Louis Lepic, dragon à quinze ans et demi en 1781, lieutenant-colonel en 1793, colonel après Marengo, et qui entra dans la légende à la bataille d’Eylau.
A cette bataille, devenu colonel-major des grenadiers à cheval de la Garde Impériale, voyant ses cavaliers courber la tête sous les balles russes qui pleuvaient sur eux, il se haussa sur ses étriers et leur cria : « Haut les têtes ! La mitraille n’est pas de la merde !» Se retrouvant encerclé par les Russes et sommé de se rendre : « Regardez-moi ces figures-là si elles veulent se rendre », cria-t-il, et parvint à se libérer. Il arriva auprès de l’Empereur, qui, le saluant du nouveau grade qu’il lui conférait, lui dit : « Je vous croyais pris, général, et j’en avais une peine très vive » « Sire, répondit Lepic, vous n’apprendrez jamais que ma mort ».
Stanislas Lepic nous contera l’histoire de ce cavalier de légende, qui fut de toutes les batailles, Eylau bien sûr, mais aussi la Vendée, l’Italie, Austerlitz, Wagram, l’Espagne, la Russie, la Saxe, la campagne de France et Waterloo.

Mercredi 15 mai 18h

Crédit photo : Mairie 8E
« CAROLINE, SŒUR DE NAPOLEON, REINE DES ARTS »
Madame Jehanne Lazaj
Conservatrice générale du patrimoine, chef du bureau du patrimoine et de la décoration au Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.

Après sa thèse sur « Les collections et les résidences de Caroline Bonaparte et Joachim Murat tant en France qu’en Italie », sous la direction de Dominique Poulot à l’université de Panthéon-Sorbonne, Madame Jehanne Lazaj nous fera part de ses découvertes faites tant dans les archives italiennes que françaises, puisque étant inspectrice des collections du Mobilier national en 2012 et ayant participé en 2017 à l’exposition « Caroline, sœur de Napoléon, reine des arts ». C’est ce thème qu’elle évoquera lors de sa conférence.
JUIN : Mercredi 5

Société Historique et Archéologique du 8ème et 17ème (SHA)

- Vendredi 19 janvier 2024 à 15h à la Maison des Associations du 8e (28 rue Laure Diebold) :
Miss HOWARD et Louis-Napoléon BONAPARTE, par Jacques Marec.
- Mardi 6 février 2024 à 15h à la Maison des Associations du 8e.
Gabriel Thomas, financier de la Tour Eiffel et du Théâtre des Champs-Élysées, par Clémence Gaboriau.
- Mardi 5 mars 2024 à 18h à la Mairie du 8e, salle des conférences.
Carmontelle, créateur du Parc Monceau, par Danièle Prévost, historienne
La conférence sur Le Palais de l'Élysée sous le Premier Empire, par Pierre Geoffroy et Francesco Guidoboni, historiens de l'architecture est reportée
-Mardi 2 Avril à la Mairie du 8e à 18h
Le pillage des œuvres d’art pendant l’Occupation par Mme de VAUCORBEIL.
-Vendredi 3 mai à la Mairie du 8e à 18h
Le décor urbain (statues) des 8e et 17e dans la tourmente pendant l’Occupation par Michel PASSALACQUA, président de la Société historique des 1er et 2e arrondissements.
-Mardi 28 mai à la Maison des Associations du 8e, 28 rue Laure Diebold à 15h
Histoire du palais de l’Elysée pendant le Premier Empire, par Pierre GEOFFROY et Francesco GUIDOBONI, historiens de l’art.
-Jeudi 6 Juin à la Maison des Associations du 8e, 28 rue Laure Diebold à 15h
Le peintre Renefer et l’Ecole ABC par Gabrielle THIERRY, Présidente de l’Association Renefer,


Souvenir napoléonien

Crédit photo : Mairie 8E

2024

Jeudi 7 mars 18h

Crédit photo : Mairie 8E
« L’HONNEUR RETROUVE DU GENERAL PARTOUNEAUX APRES LA BEREZINA »
Lieutenant-Colonel Fabrice Delaître
Historien
Nous sommes le 26 novembre 1812. Les ponts de Borisov sont aux mains des Russes. Il faut passer. Trois batailles vont se dérouler autour des ponts construits par les pontonniers du général Eblé.
Le général Partouneaux est à Borisov, à la tête de sa 12e division d’infanterie, renforcée par la 30e brigade de cavalerie du général Delaître.
Devant assurer seule l'arrière-garde de la Grande Armée face à trois armées russes sur le point d'opérer leur jonction, cette division française, à bout de forces et de ressources, dut se résoudre à déposer les armes au matin du 28 novembre 1812.
La reddition, devenue inexorable, de ses derniers combattants fit cependant l'objet d'une condamnation publique de la part de Napoléon, ainsi que l’objet de nombreuses critiques au sein même de l'institution militaire.
À leur retour de captivité, les deux frères d’armes, Partouneaux et Delaitre, s'efforcèrent de laver leur honneur.
Seuls quelques rares survivants purent témoigner avec objectivité et réalisme du sacrifice que l'Empereur leur imposa pour le salut de son armée.
En relatant pas à pas la marche de la 12e division d'infanterie de Berlin à Borisov, d'avril à novembre 1812, l'auteur souhaite réhabiliter le général Partouneaux.

Jeudi 4 avril 18h

Crédit photo : Mairie 8E
« VIVRE LA GRANDE ARMEE »
François Houdececk
Historien,
responsable des projets spéciaux à la Fondation Napoléon
En quinze ans, la Grande Armée napoléonienne, machine de guerre inégalée, remporta davantage de victoires que n’importe quelle autre armée avant ou après elle. Austerlitz, Iéna, la Moskowa, Leipzig ou Waterloo ont déjà fait couler beaucoup d’encre, mais ces batailles sont souvent analysées du point de vue de la stratégie et de la tactique.
Or les guerres napoléoniennes furent avant tout une histoire humaine. Pour la seule France, près de 2 300 000 hommes connurent l’angoisse de l’attente et du départ, la traversée du continent de part en part, les affres de la vie en campagne et le chaos de la bataille. Enthousiaste ou résigné, déserteur ou héros, chacun y réagit selon son histoire personnelle. Pendant 15 ans, ces soldats furent les acteurs, centraux mais anonymes, d’une grande loterie humaine dont beaucoup ne revinrent pas. Ils tinrent souvent des cahiers où ils notaient chaque jour les détails des péripéties extraordinaires qu’ils traversaient et, dès le lendemain de la geste impériale, ils furent nombreux à relater leurs aventures militaires. Les sources sont donc abondantes, et contrastent avec le silence des périodes antérieures où la parole des soldats est si rare.
Fort de ses travaux menés depuis de nombreuses années, François Houdececk nous livre une histoire des armées napoléoniennes depuis l’intérieur de cette grande machine, à hauteur d’homme, depuis le recrutement et l’abandon de la famille au difficile retour à la vie civile, en passant par l’instruction et l’entraînement, la fraternité et la solidarité, l’importance de la correspondance et des liens maintenus, le rôle central de l’amour, les blessures et traumatismes.

Jeudi 16 mai 18h

Crédit photo : Mairie 8E
« NAPOLEON A SAINTE HELENE ET SA CAMPAGNE PUBLICITAIRE EN LANGUE ANGLAISE »
Peter Hicks
Historien, chargé, à la Fondation Napoléon, des relations avec les institutions universitaires, muséales et associatives étrangères.
Le 13 mars 1815, le Congrès de Vienne déclara l’Empereur des Français un hors-la-loi en Europe, et, après à la bataille de Waterloo, Napoléon n’avait plus de place en France royale. La Commission temporaire du gouvernement ne lui accordera pas d'autorisation pour un passage sûr vers l'Amérique. Cependant, même si publiquement il affirmait qu’il avait « terminé [s]a carrière politique », l’Empereur n’avait pas pour autant abandonné la lutte.
Il poursuivait une campagne assidue de se faire rapatrier de l’île de Sainte-Hélène, mais, cette fois-ci, une campagne de paroles. Et pour ce faire, Napoléon savait que, « persona non grata » en France, il serait obligé de la mener dans la langue de ses geôliers.
Cette conférence propose une découverte des quatre « Epîtres aux Anglais », envoyés de façon clandestine de Sainte-Hélène et publiés à Londres entre 1817 et 1819. »
Peter Hicks, Docteur en histoire (Cambridge, St. John’s College), mais aussi musicien et chef de chœur plusieurs fois primé, nous donne ce soir une conférence sur un sujet très original.
Ouverture au public du mardi au samedi, de 10h à 17h, le jeudi de 10h à 19h, samedi 10h-12hPlanning 2024Exposition de photos sur l’Inde sacrée de Patrice Gallet de Saint-AurinDu 13 au 24 mai 2024Exposition « clé en main » (direction des affaires culturelles) 80e anniversaire du Conseil National de la RésistanceDu lundi 3 juin au lundi 17 juin 2024Exposition de peinture de Cécile RaynalDu 9 au 21 se^tembre 2024Exposition de 5 artistes chinoisDu mardi 12 au mardi 26 novembre 2024Exposition Marie-Noëlle de la Poype (sculptures)Du 29 novembre au 15 décembre 2024Exposition de peinture Mme Monnereau NicoleMidi-ConcertsLa Mairie du 8e vous offre un concert tous les jeudis (hors vacances scolaires) de 13h à 13h45. Au programme, concerts de musique classique, de jazz, de variété…Programmation des midi-concerts :Calendrier Conservatoire Municipal Camille Saint-Saëns2024 : 7 mars, 28 mars, 25 avril, 13 juin, 20 juinCalendrier CRR (Conservatoire à rayonnement régional de Paris) :2024 : 14 mars, 2 mai, 13 juinCalendrier Ecole Normale de Musique de Paris :2024 : 21 mars, 4 avril, 16 mai, 6 juinMairie du 8ème, 56 boulevard Malesherbes
Salle des mariages, escalier C, 1er étageSaison 2023-2024De septembre 2023 à juin 2024 (hors congés scolaires)

Des concerts de musique classique, jazz, opéra… en partenariat avec le Conservatoire à rayonnement régional de Paris (CRR), l'École normale de Musique de Paris-salle Cortot (ENMP), le Conservatoire municipal de Musique du 8e Camille-Saint-Saëns (CMA8) et le Collège Octave Gréard.
Tout au long de l'année, la Mairie du 8e arrondissement organise des conférences, des concerts, des expositions et de nombreux évènements culturels.Conférences de l'Hôtel CailLa Société historique et archéologique des 8e et 17e arrondissements (SHA), présidée par Mme Prévost, l'association du Souvenir napoléonien (SN) sous la houlette de son délégué Paris-Ile-de-France, M. Michel Inglebert ainsi que Claude de Méneval pour l'association des Amis du Musée Murat (AM), proposent régulièrement des conférences à la Mairie du 8e arrondissement.Mairie du 8ème, 3 rue de Lisbonne
Salle des Conférences, Escalier B - Sous-solLes Amis du Musée Murat2024Mercredi 6 mars 18h« NAPLES DANS LA TOURMENTE AVANT MURAT : NELSON ET LADY HAMILTON »
Natalia Griffon de Pleineville
Historienne spécialiste de l’Empire
Quelques années avant que Murat ne devienne roi de Naples, cette ville vécut des bouleversements révolutionnaires consécutifs à l'arrivée d'une armée française en 1799. Son commandant, le général Championnet, y proclama la république, avec le soutien des intellectuels locaux. Une euphorie de courte durée, suivie de représailles atroces constituent page noire dans la biographie de l'amiral Nelson, le plus grand marin britannique.
C'est à Naples, lors de ces événements sanglants, qu'il devint le héros d'une histoire d'amour, dont les échos traverseront les siècles, avec Emma Hamilton, d'une beauté extraordinaire, ancienne courtisane qui épousa un ambassadeur, amie et confidente de la reine Marie-Caroline de Naples.
L’idylle se poursuivit en Angleterre, au grand scandale de la bonne société. La mort de Nelson à la bataille de Trafalgar plongea sa maîtresse dans une misère tant affective que matérielle. A sa mort à Calais en 1815, personne ne reconnaissait plus dans cette alcoolique bouffie la rayonnante jeune femme dont les traits ont été figés pour la postérité sur de nombreux portraits.
Lors de sa conférence, Natalia Griffon de Pleineville, contera les relations entre ces deux êtres hors du commun sur fond de la révolution napolitaine.Mercredi 3 avril 18h« LE GENERAL COMTE LEPIC, COLONEL-MAJOR DES GRENADIERS A CHEVAL DE LA GARDE IMPERIALE »
Stanislas Lepic
La deuxième conférence de notre cycle « Les grands cavaliers de l’Empire » est consacrée à Louis Lepic, dragon à quinze ans et demi en 1781, lieutenant-colonel en 1793, colonel après Marengo, et qui entra dans la légende à la bataille d’Eylau.
A cette bataille, devenu colonel-major des grenadiers à cheval de la Garde Impériale, voyant ses cavaliers courber la tête sous les balles russes qui pleuvaient sur eux, il se haussa sur ses étriers et leur cria : « Haut les têtes ! La mitraille n’est pas de la merde !» Se retrouvant encerclé par les Russes et sommé de se rendre : « Regardez-moi ces figures-là si elles veulent se rendre », cria-t-il, et parvint à se libérer. Il arriva auprès de l’Empereur, qui, le saluant du nouveau grade qu’il lui conférait, lui dit : « Je vous croyais pris, général, et j’en avais une peine très vive » « Sire, répondit Lepic, vous n’apprendrez jamais que ma mort ».
Stanislas Lepic nous contera l’histoire de ce cavalier de légende, qui fut de toutes les batailles, Eylau bien sûr, mais aussi la Vendée, l’Italie, Austerlitz, Wagram, l’Espagne, la Russie, la Saxe, la campagne de France et Waterloo.Mercredi 15 mai 18h « CAROLINE, SŒUR DE NAPOLEON, REINE DES ARTS »
Madame Jehanne Lazaj
Conservatrice générale du patrimoine, chef du bureau du patrimoine et de la décoration au Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.

Après sa thèse sur « Les collections et les résidences de Caroline Bonaparte et Joachim Murat tant en France qu’en Italie », sous la direction de Dominique Poulot à l’université de Panthéon-Sorbonne, Madame Jehanne Lazaj nous fera part de ses découvertes faites tant dans les archives italiennes que françaises, puisque étant inspectrice des collections du Mobilier national en 2012 et ayant participé en 2017 à l’exposition « Caroline, sœur de Napoléon, reine des arts ». C’est ce thème qu’elle évoquera lors de sa conférence.JUIN : Mercredi 5Société Historique et Archéologique du 8ème et 17ème (SHA)Site internet SHASite Maison des associations du 8E- Vendredi 19 janvier 2024 à 15h à la Maison des Associations du 8e (28 rue Laure Diebold) :Miss HOWARD et Louis-Napoléon BONAPARTE, par Jacques Marec.(Plus d'informations ici)- Mardi 6 février 2024 à 15h à la Maison des Associations du 8e.Gabriel Thomas, financier de la Tour Eiffel et du Théâtre des Champs-Élysées, par Clémence Gaboriau.(Plus d'informations ici)- Mardi 5 mars 2024 à 18h à la Mairie du 8e, salle des conférences.Carmontelle, créateur du Parc Monceau, par Danièle Prévost, historienneLa conférence sur Le Palais de l'Élysée sous le Premier Empire, par Pierre Geoffroy et Francesco Guidoboni, historiens de l'architecture est reportée-Mardi 2 Avril à la Mairie du 8e à 18hLe pillage des œuvres d’art pendant l’Occupation par Mme de VAUCORBEIL.-Vendredi 3 mai à la Mairie du 8e à 18hLe décor urbain (statues) des 8e et 17e dans la tourmente pendant l’Occupation par Michel PASSALACQUA, président de la Société historique des 1er et 2e arrondissements.-Mardi 28 mai à la Maison des Associations du 8e, 28 rue Laure Diebold à 15hHistoire du palais de l’Elysée pendant le Premier Empire, par Pierre GEOFFROY et Francesco GUIDOBONI, historiens de l’art.-Jeudi 6 Juin à la Maison des Associations du 8e, 28 rue Laure Diebold à 15hLe peintre Renefer et l’Ecole ABC par Gabrielle THIERRY, Présidente de l’Association Renefer,
Souvenir napoléonien2024Jeudi 7 mars 18h« L’HONNEUR RETROUVE DU GENERAL PARTOUNEAUX APRES LA BEREZINA »
Lieutenant-Colonel Fabrice Delaître
Historien
Nous sommes le 26 novembre 1812. Les ponts de Borisov sont aux mains des Russes. Il faut passer. Trois batailles vont se dérouler autour des ponts construits par les pontonniers du général Eblé.
Le général Partouneaux est à Borisov, à la tête de sa 12e division d’infanterie, renforcée par la 30e brigade de cavalerie du général Delaître.
Devant assurer seule l'arrière-garde de la Grande Armée face à trois armées russes sur le point d'opérer leur jonction, cette division française, à bout de forces et de ressources, dut se résoudre à déposer les armes au matin du 28 novembre 1812.
La reddition, devenue inexorable, de ses derniers combattants fit cependant l'objet d'une condamnation publique de la part de Napoléon, ainsi que l’objet de nombreuses critiques au sein même de l'institution militaire.
À leur retour de captivité, les deux frères d’armes, Partouneaux et Delaitre, s'efforcèrent de laver leur honneur.
Seuls quelques rares survivants purent témoigner avec objectivité et réalisme du sacrifice que l'Empereur leur imposa pour le salut de son armée.
En relatant pas à pas la marche de la 12e division d'infanterie de Berlin à Borisov, d'avril à novembre 1812, l'auteur souhaite réhabiliter le général Partouneaux.Jeudi 4 avril 18h« VIVRE LA GRANDE ARMEE »
François Houdececk
Historien,
responsable des projets spéciaux à la Fondation Napoléon En quinze ans, la Grande Armée napoléonienne, machine de guerre inégalée, remporta davantage de victoires que n’importe quelle autre armée avant ou après elle. Austerlitz, Iéna, la Moskowa, Leipzig ou Waterloo ont déjà fait couler beaucoup d’encre, mais ces batailles sont souvent analysées du point de vue de la stratégie et de la tactique.
Or les guerres napoléoniennes furent avant tout une histoire humaine. Pour la seule France, près de 2 300 000 hommes connurent l’angoisse de l’attente et du départ, la traversée du continent de part en part, les affres de la vie en campagne et le chaos de la bataille. Enthousiaste ou résigné, déserteur ou héros, chacun y réagit selon son histoire personnelle. Pendant 15 ans, ces soldats furent les acteurs, centraux mais anonymes, d’une grande loterie humaine dont beaucoup ne revinrent pas. Ils tinrent souvent des cahiers où ils notaient chaque jour les détails des péripéties extraordinaires qu’ils traversaient et, dès le lendemain de la geste impériale, ils furent nombreux à relater leurs aventures militaires. Les sources sont donc abondantes, et contrastent avec le silence des périodes antérieures où la parole des soldats est si rare.
Fort de ses travaux menés depuis de nombreuses années, François Houdececk nous livre une histoire des armées napoléoniennes depuis l’intérieur de cette grande machine, à hauteur d’homme, depuis le recrutement et l’abandon de la famille au difficile retour à la vie civile, en passant par l’instruction et l’entraînement, la fraternité et la solidarité, l’importance de la correspondance et des liens maintenus, le rôle central de l’amour, les blessures et traumatismes.Jeudi 16 mai 18h« NAPOLEON A SAINTE HELENE ET SA CAMPAGNE PUBLICITAIRE EN LANGUE ANGLAISE »
Peter Hicks
Historien, chargé, à la Fondation Napoléon, des relations avec les institutions universitaires, muséales et associatives étrangères.
Le 13 mars 1815, le Congrès de Vienne déclara l’Empereur des Français un hors-la-loi en Europe, et, après à la bataille de Waterloo, Napoléon n’avait plus de place en France royale. La Commission temporaire du gouvernement ne lui accordera pas d'autorisation pour un passage sûr vers l'Amérique. Cependant, même si publiquement il affirmait qu’il avait « terminé [s]a carrière politique », l’Empereur n’avait pas pour autant abandonné la lutte.
Il poursuivait une campagne assidue de se faire rapatrier de l’île de Sainte-Hélène, mais, cette fois-ci, une campagne de paroles. Et pour ce faire, Napoléon savait que, « persona non grata » en France, il serait obligé de la mener dans la langue de ses geôliers.
Cette conférence propose une découverte des quatre « Epîtres aux Anglais », envoyés de façon clandestine de Sainte-Hélène et publiés à Londres entre 1817 et 1819. »
Peter Hicks, Docteur en histoire (Cambridge, St. John’s College), mais aussi musicien et chef de chœur plusieurs fois primé, nous donne ce soir une conférence sur un sujet très original.Jeudi 13 juin 2024 à 18h00. Un Général de corps d’armée, spécialiste de la bataille de Ligny, tiendra une conférence en mémoire de cette bataille dont l’anniversaire est le 16 juin.

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